IAL de Mars 2016

titreJournalIALeditoIAL

Notre nouvelle parution se veut le reflet des espoirs et des attentes qui sont les nôtres en matière de militance, de positionnements politiques et éthiques, ainsi qu’en matière d’organisation.

  • Notre anti-électoralisme, loin d’être une posture esthétique et/ou marginale se veut radical sur le fond et pédagogique dans la forme. Ainsi, les analyses et hypothèses sur lesquelles nous nous étions appuyé-e-s lors de notre première parution se sont avérées.
    Aujourd’hui nous abordons à nouveau ce sujet en insistant cette fois sur le fond, les raisons que toutes et tous peuvent avoir d’abandonner l’électoralisme, un système de désignation au totalement inique, pire même, un système qui reproduit la « Domination » !
  • L’Organisation anarchiste en tant que regroupement nécessaire à la réalisation collective des propositions libertaires, solidaires, égalitaires et fédéralistes et en tant que force de contestation de l’ordre bourgeois étatique et capitaliste doit, à notre sens, répondre aux attentes d’un grand nombre de femmes et d’hommes qui fondent leurs espoirs en un monde meilleur, débarrassé des contraintes, de l’aliénation, de l’exploitation et de la misère…
  • La dualité «Justice/Injustice», faux-nez des gens de « pouvoirs », nous renvoie objectivement à nous questionner sur la perméabilité humaine aux discours erronés dispensés par les édiles et par les Institutions afin d’endormir les populations sur la véritable nature des systèmes d’autorité…
  • L’état d’urgence qui n’en finit pas de nous mettre dans tous nos états et qui cache mal la dimension autoritaire contenue dans toutes les décisions des gouvernants (quel que soit le bord dont ils se réclament) va pour longtemps encore nous pourrir la vie à force de flics, de militaires, de frontières et discours franchouillards et xénophobes…
  • Et encore la COP 21 qui a un temps occupé les espaces médiatiques à grands renforts de publicité «mensongère» et de parades politiciennes des «grands du monde» a laissé la place à une réalité beaucoup plus prosaïque : le capitalisme continue à pourrir la planète et le fric roi passe avant le bien vivre.
    Les peuples ne comptent pas quand il s’agit des intérêts des nantis et des potentats !

Alors, n’est-il pas temps de prendre nos affaires en mains ?


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